Réédition du texte « Potentialité et virtualité » publié dans Failles, printemps 2006, éditions NOUS (Paris), p.112-129.
« La voie ontologique dont je parle consisterait au contraire à affirmer qu’il est rationnellement possible d’envisager que les constantes puissent effectivement changer sans raison aucune, donc sans nécessité aucune, ce qui, j’y insiste dès maintenant, conduirait à envisager une contingence si radicale qu’elle incorporerait tous les futurs pensables des lois présentes, dont celui consistant en leur absence de modification. Il s’agirait donc de justifier l’effectivité d’une contingence radicale non seulement des événements soumis aux lois, mais des lois elle-mêmes […] »